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Wild Air - Introduction
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Wild Air - Introduction
Le vent soufflait fort, et le ciel était gris, et une tempête commençait. Une tribue située dans les montagnes venait d'avoir une nouvelle-née, dans cet habitat léger sous le vent, non loin du volcan d'Abalathia. La petite serait née sous la tempête, une tempête qui aurait effrayé la famille de la gamine, ayant presque emporté le peu de nourritures qu'ils avaient. Dans ces montagnes, la nourriture était rare, et les Roegadyns s'y trouvant avaient pour principe de ne rien gaspiller si c'était comestible.
La mère était couverte de sueur, et hurlait lorsqu'elle essayer de donner vie à cette autre roegadyn. C'est après de longs efforts, et assistance du père et de leurs premières fille, que la gamine était née dans cette tempête :
Isilswys Merlskyfwyn
Tel était le nom qui lui fut attribuée par ses parents, regardant la gamine d'un air fier. C'est en l'enrobant pour la réchauffer, et la mettre au confort après qu'elle ait fait ses premiers cris, qu'un autre habitant du clan tapait en force sur la porte des parents. Un appel à l'aide suite à un problème dans le volcan, semblerait-il. Il paraîtrait, selon les anciens roegadyns, que les tribus du clan du feu protégeait le monde du portail des morts, qui se situerait dans le volcan d'Abalathia. Le père équipait sa tenue, et prenait son bâton d'incantation, suivant tout de suite la demande à l'aide. C'est la grande soeur, Keltswys Merlskyfyw, âgée de 6 ans qui a donc aidée la mère et l'enfant. Jeune, elle était déjà capable de s'adapter et d'apprendre rapidement.
10 ans plus tard
Isilswys était face à une initiation qu'avaient les jeunes du clan. C'était la marche des flammes, qui consistait à marcher sur les braises pour tenir à la chaleur du volcan. Cette initiation leurs produisaient de bons mages ainsi que des guerriers représentant la force des leurs. Cette tribu était guerrière dû au fait que le portail des morts se situait dans ce volcan, et qu'ils s'en considéraient comme gardien. Et c'est donc très jeunes qu'ils commençaient à former leurs enfants en faisait la marche du feu, pour éveiller leurs pouvoir latent. C'est sans aucun doute cette ancienne tradition que les clans du feus ont produit d'aussi bons mages, en plus de leurs effrayants manieur d'épée et de hache, ceux pour quoi leurs clan est le plus connu.
Les braises chaudes, elle posa son premier pied, regardant droit devant elle. Elle était certaines de le passer, sa grande soeur l'ayant entraînée à supporter la chaleur moulte fois plusieurs mois avant, dans des baignades à haute température. Ce qui éveillait le pouvoir latent, était un mystère. Peut être était-ce l'éther ambient qui s'infusait en eux, ou peut être était-ce la douleur qui les éveillait, peu importe les cas, cette marche en était la cause. Ses Iris ambrés regardaient droit devant elle, pendant que les cheveux dont l'éclat d'un volcan éteint, virevoltait au vent. Les braises n'étaient pas douce, et comme les quelques premiers roegadyns devant elle, la douleur était suffisante pour donner envie de sautiller, mais il n'en était rien, aucun des jeunes ce jour là n'a montré signe de faiblesse. C'est ainsi qu'ils étaient éduqué, la faiblesse était méprisable. Ce n'était pas qu'une question de force brute, mais de volonté, et de détermination. Tant que tu étais capable de suivre tes choix, sans abandonner, tu étais considéré comme fort. Cette épreuve était une étape pour chacun d'eux. Ce jour-là, l'éther de ces jeunots était passé à un niveau différent. À la fin de la marche, leurs potentiels était réveillé, et Isilswys, avait développé la bête intérieure, la force des guerriers de ces montagnes.
C'est pendant son adolescence, qu'elle fut entrainée par des personnes qui disposaient de ces connaissances. D'anciens guerriers qui savaient par expérience de quoi était fait leurs arts. Elle reçut son cristal des mains de son mentor, Guldbenn. C'était un Roegadyn dans les 50 années, qui avait déjà fait ses preuves en tant que guerrier. De longs cheveux bleus, et une grande barbe lui tombant aux pectoraux, il gardait malgré tout une superbe forme, le corps parsemé de diverse blessures. La grande soeur, elle, après cette épreuve qu'elle avait déjà passée, était devenue une puissance magicienne, dont le talent ne pouvait être douté. Semblable à son père, elle était capable de manier les éléments et de les combiner efficacement bien que sa magie la plus puissante était le vent, du haut de ses 16 ans. Pour les parents de Isilswys, Keltswys était la fille élue de leurs famille. Le mentor de Isilswys avait remarqué ce lent favoritisme qui se profilait dans sa famille, et donc en réponse, entraîna deux fois plus durement la dernière née, pour la faire tenir la route. Il était persuadé qu'elle disposait d'un potentiel a exploité, et qu'un jour sa famille sera forcée de l'apercevoir.
Les entraînements étaient autant difficile mentalement que physiquement, que ce soit des situations mettant leurs physiques en danger, via l'environnement, la menace, ou même l'entraînement physique, le travail mental était tout aussi difficile. Devant savoir contrôler cette bête et n'éviter qu'elle se relâche au premier doute, ils étaient proie à des méthodes venant leurs forcer à garder leurs calmes. Parfois, certains partaient et fuyaient leurs clans, pris de doute et de dépression tant ils ont finit par douter d'eux, que la motivation n'était pas suffisante. Isilswys, elle, à chaque fois qu'elle était face à un choix au doute, elle observait son mentor dans les yeux. Bien qu'il était évident qu'elle ait été touchée par ces entraînements, souvent au bord de la panique, ou pas loin d'abandonner, son regard n'éteignait jamais cette braise qui ne demandait qu'à être alimenté. Les années passèrent, et Isilswys était capable de contrôler correctement sa bête, ayant perdu le contrôle quelques fois pendant les entraînements, elle était plus à même de la contenir. Bien entendu, le parfait n'existe pas, et il peut toujours avoir des failles, si cet entraînement était sans faille, l'art n'aurait pas été interdit fut une époque. Quant à sa soeur, plus son amélioration magique se faisait effectif, moins elle parlait à Isilswys. Comme si elle n'avait pas le temps à attribuer à sa soeur, et qu'elle était digne d'être la vraie protectrice du volcan.
À ses 22 années
L'ancienne adolescente était désormais femme. Son regard n'avait jamais changé avec ce temps bien que ses cheveux étaient plus long, et coiffés différemment. C'est dans une chasse dans les montagnes, qu'elle tombait sur un ours, ours qu'elle avait réussi à dompter après un affrontement rude. Les ours d'Abalathia, ne sont pas connu de supporter la présence d'hommes sur leurs territoire. Et pourtant, certains les domptaient. On pouvait se demander comment ces derniers étaient capable de dompter de telles bestiaux. Et bien Isilswys le fit à son tour, quand la bête jeta un œil dans celle de la Roegadyn, elle s'est faites convaincre que se soumettre était synonyme de sa survie. Cet ours était devenu la monture principale de la Roegadyn. Ces entraînements avaient potentiellement renforcé son talent mystique qui s'était développé à la marche des braises.
À ses 24 années
Le temps passait, et la Roegadyn gardait ses terres comme les membres de sa tribu. La nourriture était toujours aussi pauvre, et de la plupart des anciens amis qu'elle avait, beaucoup était parti devenir mercenaire car la famine les obligeait à aller faire des contrats pour se nourrir. Ce n'était pas encore le cas de notre guerrière aux yeux de braises, qui ce jour là, sortait de sa maison pour aller en recherche de nourriture comme à son habitude. En ouvrant la porte, le sol était recouvert d'une ombre et un bruit de moteur se faisait entendre. En levant la tête, elle aperçu de montgolfières Ixali. Surprise, et ne s'attendant pas à une attaque de ces hommes-bêtes venant des montagnes au dessus d'Ala mhigo, elle avança directement vers sa famille, pour les avertir de la menace. Cependant dans le village le combat semblait faire déjà rage. Des attaques magique de vent lancé par les hommes-bêtes, contrée par des barrières magique du côté roegadyn faisait chaos sur le sol. La soeur de Isilswys était occupée de lancer des sorts destructeurs l'un après l'autre, faisant tomber plus d'un Ixali, alors que d'autres pouvaient se faire dominer. Le vieux mentor de la guerrière, lui était désormais bien âgé et il aidait à garder le village contre ces envahisseurs.
Elle dégainait son arme, et se jeta dans la mêlée, s'en prenant aux corps à corps, les envoyant voler sous les coups de sa double hache au sol, elle était incapable de faire autre chose que de les tenir à sa position, les flèches volaient tout autour d'elle. Mais c'est là que la vieillesse atteint les réflexes d'une personne, et une flèche s'écrasa dans la tête de son mentor, tombant au sol inerte. Ce fut un choc pour la roegadyne qui n'avait pas su contenir sa bête, et dans un énorme grognement vombrissant, elle dégageait une onde de choc autour d'elle, éjectant les quelques ixalis, autour d'elle. D'autres guerriers avaient eux aussi déjà relâché leurs potentiels intérieur, mais elle, ce jour-là perdit le contrôle, et se lança dans un bain de sang vengeur.
Quand elle ne faisait pas qu'écraser son arme massive sur un Ixali broyant ses os dans le sol, elle arrachait des bras avec son pied et sa main, calcinant d'autres avec des boules de feu héritée de son aura. Alors que certains des coups de pierres provoquaient des séismes suffisamment fort pour les ensevelir sous la terre et les étouffer. Ce jour-là, aurait pu être son jour de gloire, si quand les Ixalis avaient pris la fuite de ces roegadyns doués au combat, elle ne s'était pas retourné vers les siens pour les attaquer.
C'est grâce à sa soeur, qu'elle n'a blessée personne, quand elle s'est faite arrêtée par sa magie de vent, et de terre l'assommant. Une perte de contrôle pouvait arriver, et plus de peur que de mal pour le village. Ce n'était pas forcément le cas de vision de sa famille.
-À ses 25 ans
La nourriture était encore plus difficile cette année, le peu de culture possible avait été anéanti par les Ixalis, et sa famille avait commencé à faire un choix. Bien qu'elle ne vivait plus avec eux, elle consommait malgré tout de la nourriture dans le lieu. Mais leurs amour paternels les empêchaient de la jeter dehors ainsi, et c'est alors que les deux soeurs, ne savaient pas si elles devaient se sacrifier pour l'autre soeur, ou la proposer à partir.
C'est alors que Keltswys fit une proposition. Seule la plus forte entres elles, resteraient. L'idée ne plaisait pas à Isilswys, mais elle n'avait pas le choix d'accepter pour éviter à la famille de crier famine encore plus qu'ils ne le sont. Elle accepta.
Les deux sœurs marchèrent le long des montagnes avant de trouver un bon territoire. Chacune fit face à l'autre, l'une maniant les éléments, l'autre abritant une bête.
Isilswys se demandaient si elles étaient obligée de faire cela, et la sœur lui demandait alors si c'était ça, sa détermination. Si elle était capable d'abandonner pour si peu.
"Si peu".
Ce sont les mots qui ont percuté la femme à bête. Comment osait t'elle insinuait que se virer l'une à l'autre était "si peu". Elle dégainait son arme, et se préparait à l'affrontement.
Elle commençait à courir vers la magicienne, prête à lui abattre un coup de poing dévastateur pour la repousser, mais c'est avec impossibilité de l'atteindre qu'elle fit repoussée loin en arrière contre le sol. Une brise de vent aussi fort qu'une tempête la cloua au sol. Le sol et les cailloux ambient tournaient dans le ciel telle une tornade, alors que la combattante était incapable de se relever. Sa braise n'était pas là, elle n'arrivait pas à se donner à fond contre sa sœur. C'est alors qu'elle se faisait écrasée par divers morceaux de terres, lancés par la magicienne qui enchaînait ses magies d'une facilitée.
C'est alors qu'un bruit de grognement raisonnait. Elle refusait de perdre aussi facilement, et attrapait un de ces morceaux entre ses mains, qu'elle brisait, avant de pousser un lourd hurlement, telle une onde de choc, venant percuter ce vent et le dissiper. Ramassant sa hache, sa sœur n'hésitait pas à la bombarder d'un nouveau sort, de l'eau fine, tranchante comme une lame très aiguisée. La guerrière tapa du pied au sol, dans sa force décuplée, et venait lever la roche qui encaissait cette taillade subissant sa marque de tranchant. Elle venait ensuite prendre appui, et sauter sur le rocher pour venir atteindre sa soeur. C'est alors qu'elle lançait un méga vent aidé d'une magie prompte. Le sort filait à toute allure contre Isilswys, qui était dans les airs. À nouveau, elle inspirait de l'air avant que cela n'arrive, et hurla tellement fort que l'onde de choc de son cri annula le sort au contact. Peu après ce cri, elle ressentait une douleur dans sa gorge, comme si elle brûlait. Mais cela n'était rien, elle devait obtenir sa victoire, et prouver à sa soeur qu'elle est capable. Malheureusement, lorsqu'elle arrive au contact, la terre se lever du sol et venait lui frapper le menton. La jetant en arrière, cette terre se détacha du sol, et venait à nouveau l'écraser, ne cessant d'être jeté sur elle pour l'occuper. C'est alors qu'un jet d'eau condensé venait s'abattre du ciel sur elle, l'écrasant à nouveau sur ce sol qui ne cessait de s'enfoncer avec sa forme. Petit à petit, elle perdait la bête, et perdu l'affrontement.
- J'ai gagnée, soeur. Je vais rester, et tu devras y aller.
Les poings serrés, Isilwys se retenait de toute ses forces d'éjecter ses émotions, et se relevait difficilement, blessée, regardant vers sa soeur.
- Je ne pouvais pas me battre contre toi. Je partirai, mais dans le fond je suis la gagnante.
- Il n'est pas nécessaire de faire preuve de mauvaise foi, ton départ m'attriste tout autant que tu ne le sois.
Isilswys soufflait du nez, peu convaincue par les dires, alors qu'elle rengainait son arme.
- Je suis certaines que depuis les Ixalis, tu me regardais de haut. Car j'ai attaquée les notre, et que j'ai tuée ma monture. Cependant, contrairement à toi, je ne pouvais me résigner à affronter ma soeur de toute mes forces. Et ma victoire est t'elle, que ta magie fétiche, le vent, n'a pas été efficace contre moi.
Relevant son regard de braise, dans ceux de sa soeur, elle rétorqua une dernière phrase, avant de partir.
- Si tu n'avais pas été de ma famille, tu aurais perdue. Toi et ton air de supériorité, auriez mangée le sol. Un peu de retour à la réalité ne te ferait pas de mal.
C'est sur ces mots, qu'elle partait. La soeur, avait un air outrée, mais surtout, souhaitait répondre. Elle a préférée garder le silence, car elle n'était pas autant capable de rétorquer autre chose que des injures, sous la colère. Si c'est elle qui aurait hérité de la bête, elle n'aurait en réalité, jamais réussie à la contrôler un tant soit peu correctement.
Chez elle, elle prenait ses affaires, se préparant à partir. Quand un des anciens du village lui demandait comment elle comptait se faire appeler sur les terres en dehors.
Isilswys réfléchissait longuement, et d'un sourire narquois sur son visage, venait se dessiner sa réponse.
"Wild Air".
En provocatrice envers sa soeur, comme si elle était plus sauvage que son vent, elle prit la route, en direction d'Eorzéa.
C'est ainsi, qu'elle devint aventurière, et commençait les mandats et les services, ayant atteint la capacité de se nourrir, de se loger, et de mettre à l'épreuve sa force, et son courage.
Qu'est-ce qui l'avait animé toute ses années ? Ce besoin de se prouver qu'elle n'était pas inférieure à sa soeur. Elle avait réussi, et désormais, elle était animée à l'idée de progresser, encore.
La mère était couverte de sueur, et hurlait lorsqu'elle essayer de donner vie à cette autre roegadyn. C'est après de longs efforts, et assistance du père et de leurs premières fille, que la gamine était née dans cette tempête :
Isilswys Merlskyfwyn
Tel était le nom qui lui fut attribuée par ses parents, regardant la gamine d'un air fier. C'est en l'enrobant pour la réchauffer, et la mettre au confort après qu'elle ait fait ses premiers cris, qu'un autre habitant du clan tapait en force sur la porte des parents. Un appel à l'aide suite à un problème dans le volcan, semblerait-il. Il paraîtrait, selon les anciens roegadyns, que les tribus du clan du feu protégeait le monde du portail des morts, qui se situerait dans le volcan d'Abalathia. Le père équipait sa tenue, et prenait son bâton d'incantation, suivant tout de suite la demande à l'aide. C'est la grande soeur, Keltswys Merlskyfyw, âgée de 6 ans qui a donc aidée la mère et l'enfant. Jeune, elle était déjà capable de s'adapter et d'apprendre rapidement.
10 ans plus tard
Isilswys était face à une initiation qu'avaient les jeunes du clan. C'était la marche des flammes, qui consistait à marcher sur les braises pour tenir à la chaleur du volcan. Cette initiation leurs produisaient de bons mages ainsi que des guerriers représentant la force des leurs. Cette tribu était guerrière dû au fait que le portail des morts se situait dans ce volcan, et qu'ils s'en considéraient comme gardien. Et c'est donc très jeunes qu'ils commençaient à former leurs enfants en faisait la marche du feu, pour éveiller leurs pouvoir latent. C'est sans aucun doute cette ancienne tradition que les clans du feus ont produit d'aussi bons mages, en plus de leurs effrayants manieur d'épée et de hache, ceux pour quoi leurs clan est le plus connu.
Les braises chaudes, elle posa son premier pied, regardant droit devant elle. Elle était certaines de le passer, sa grande soeur l'ayant entraînée à supporter la chaleur moulte fois plusieurs mois avant, dans des baignades à haute température. Ce qui éveillait le pouvoir latent, était un mystère. Peut être était-ce l'éther ambient qui s'infusait en eux, ou peut être était-ce la douleur qui les éveillait, peu importe les cas, cette marche en était la cause. Ses Iris ambrés regardaient droit devant elle, pendant que les cheveux dont l'éclat d'un volcan éteint, virevoltait au vent. Les braises n'étaient pas douce, et comme les quelques premiers roegadyns devant elle, la douleur était suffisante pour donner envie de sautiller, mais il n'en était rien, aucun des jeunes ce jour là n'a montré signe de faiblesse. C'est ainsi qu'ils étaient éduqué, la faiblesse était méprisable. Ce n'était pas qu'une question de force brute, mais de volonté, et de détermination. Tant que tu étais capable de suivre tes choix, sans abandonner, tu étais considéré comme fort. Cette épreuve était une étape pour chacun d'eux. Ce jour-là, l'éther de ces jeunots était passé à un niveau différent. À la fin de la marche, leurs potentiels était réveillé, et Isilswys, avait développé la bête intérieure, la force des guerriers de ces montagnes.
C'est pendant son adolescence, qu'elle fut entrainée par des personnes qui disposaient de ces connaissances. D'anciens guerriers qui savaient par expérience de quoi était fait leurs arts. Elle reçut son cristal des mains de son mentor, Guldbenn. C'était un Roegadyn dans les 50 années, qui avait déjà fait ses preuves en tant que guerrier. De longs cheveux bleus, et une grande barbe lui tombant aux pectoraux, il gardait malgré tout une superbe forme, le corps parsemé de diverse blessures. La grande soeur, elle, après cette épreuve qu'elle avait déjà passée, était devenue une puissance magicienne, dont le talent ne pouvait être douté. Semblable à son père, elle était capable de manier les éléments et de les combiner efficacement bien que sa magie la plus puissante était le vent, du haut de ses 16 ans. Pour les parents de Isilswys, Keltswys était la fille élue de leurs famille. Le mentor de Isilswys avait remarqué ce lent favoritisme qui se profilait dans sa famille, et donc en réponse, entraîna deux fois plus durement la dernière née, pour la faire tenir la route. Il était persuadé qu'elle disposait d'un potentiel a exploité, et qu'un jour sa famille sera forcée de l'apercevoir.
Les entraînements étaient autant difficile mentalement que physiquement, que ce soit des situations mettant leurs physiques en danger, via l'environnement, la menace, ou même l'entraînement physique, le travail mental était tout aussi difficile. Devant savoir contrôler cette bête et n'éviter qu'elle se relâche au premier doute, ils étaient proie à des méthodes venant leurs forcer à garder leurs calmes. Parfois, certains partaient et fuyaient leurs clans, pris de doute et de dépression tant ils ont finit par douter d'eux, que la motivation n'était pas suffisante. Isilswys, elle, à chaque fois qu'elle était face à un choix au doute, elle observait son mentor dans les yeux. Bien qu'il était évident qu'elle ait été touchée par ces entraînements, souvent au bord de la panique, ou pas loin d'abandonner, son regard n'éteignait jamais cette braise qui ne demandait qu'à être alimenté. Les années passèrent, et Isilswys était capable de contrôler correctement sa bête, ayant perdu le contrôle quelques fois pendant les entraînements, elle était plus à même de la contenir. Bien entendu, le parfait n'existe pas, et il peut toujours avoir des failles, si cet entraînement était sans faille, l'art n'aurait pas été interdit fut une époque. Quant à sa soeur, plus son amélioration magique se faisait effectif, moins elle parlait à Isilswys. Comme si elle n'avait pas le temps à attribuer à sa soeur, et qu'elle était digne d'être la vraie protectrice du volcan.
À ses 22 années
L'ancienne adolescente était désormais femme. Son regard n'avait jamais changé avec ce temps bien que ses cheveux étaient plus long, et coiffés différemment. C'est dans une chasse dans les montagnes, qu'elle tombait sur un ours, ours qu'elle avait réussi à dompter après un affrontement rude. Les ours d'Abalathia, ne sont pas connu de supporter la présence d'hommes sur leurs territoire. Et pourtant, certains les domptaient. On pouvait se demander comment ces derniers étaient capable de dompter de telles bestiaux. Et bien Isilswys le fit à son tour, quand la bête jeta un œil dans celle de la Roegadyn, elle s'est faites convaincre que se soumettre était synonyme de sa survie. Cet ours était devenu la monture principale de la Roegadyn. Ces entraînements avaient potentiellement renforcé son talent mystique qui s'était développé à la marche des braises.
À ses 24 années
Le temps passait, et la Roegadyn gardait ses terres comme les membres de sa tribu. La nourriture était toujours aussi pauvre, et de la plupart des anciens amis qu'elle avait, beaucoup était parti devenir mercenaire car la famine les obligeait à aller faire des contrats pour se nourrir. Ce n'était pas encore le cas de notre guerrière aux yeux de braises, qui ce jour là, sortait de sa maison pour aller en recherche de nourriture comme à son habitude. En ouvrant la porte, le sol était recouvert d'une ombre et un bruit de moteur se faisait entendre. En levant la tête, elle aperçu de montgolfières Ixali. Surprise, et ne s'attendant pas à une attaque de ces hommes-bêtes venant des montagnes au dessus d'Ala mhigo, elle avança directement vers sa famille, pour les avertir de la menace. Cependant dans le village le combat semblait faire déjà rage. Des attaques magique de vent lancé par les hommes-bêtes, contrée par des barrières magique du côté roegadyn faisait chaos sur le sol. La soeur de Isilswys était occupée de lancer des sorts destructeurs l'un après l'autre, faisant tomber plus d'un Ixali, alors que d'autres pouvaient se faire dominer. Le vieux mentor de la guerrière, lui était désormais bien âgé et il aidait à garder le village contre ces envahisseurs.
Elle dégainait son arme, et se jeta dans la mêlée, s'en prenant aux corps à corps, les envoyant voler sous les coups de sa double hache au sol, elle était incapable de faire autre chose que de les tenir à sa position, les flèches volaient tout autour d'elle. Mais c'est là que la vieillesse atteint les réflexes d'une personne, et une flèche s'écrasa dans la tête de son mentor, tombant au sol inerte. Ce fut un choc pour la roegadyne qui n'avait pas su contenir sa bête, et dans un énorme grognement vombrissant, elle dégageait une onde de choc autour d'elle, éjectant les quelques ixalis, autour d'elle. D'autres guerriers avaient eux aussi déjà relâché leurs potentiels intérieur, mais elle, ce jour-là perdit le contrôle, et se lança dans un bain de sang vengeur.
Quand elle ne faisait pas qu'écraser son arme massive sur un Ixali broyant ses os dans le sol, elle arrachait des bras avec son pied et sa main, calcinant d'autres avec des boules de feu héritée de son aura. Alors que certains des coups de pierres provoquaient des séismes suffisamment fort pour les ensevelir sous la terre et les étouffer. Ce jour-là, aurait pu être son jour de gloire, si quand les Ixalis avaient pris la fuite de ces roegadyns doués au combat, elle ne s'était pas retourné vers les siens pour les attaquer.
C'est grâce à sa soeur, qu'elle n'a blessée personne, quand elle s'est faite arrêtée par sa magie de vent, et de terre l'assommant. Une perte de contrôle pouvait arriver, et plus de peur que de mal pour le village. Ce n'était pas forcément le cas de vision de sa famille.
-À ses 25 ans
La nourriture était encore plus difficile cette année, le peu de culture possible avait été anéanti par les Ixalis, et sa famille avait commencé à faire un choix. Bien qu'elle ne vivait plus avec eux, elle consommait malgré tout de la nourriture dans le lieu. Mais leurs amour paternels les empêchaient de la jeter dehors ainsi, et c'est alors que les deux soeurs, ne savaient pas si elles devaient se sacrifier pour l'autre soeur, ou la proposer à partir.
C'est alors que Keltswys fit une proposition. Seule la plus forte entres elles, resteraient. L'idée ne plaisait pas à Isilswys, mais elle n'avait pas le choix d'accepter pour éviter à la famille de crier famine encore plus qu'ils ne le sont. Elle accepta.
Les deux sœurs marchèrent le long des montagnes avant de trouver un bon territoire. Chacune fit face à l'autre, l'une maniant les éléments, l'autre abritant une bête.
Isilswys se demandaient si elles étaient obligée de faire cela, et la sœur lui demandait alors si c'était ça, sa détermination. Si elle était capable d'abandonner pour si peu.
"Si peu".
Ce sont les mots qui ont percuté la femme à bête. Comment osait t'elle insinuait que se virer l'une à l'autre était "si peu". Elle dégainait son arme, et se préparait à l'affrontement.
Elle commençait à courir vers la magicienne, prête à lui abattre un coup de poing dévastateur pour la repousser, mais c'est avec impossibilité de l'atteindre qu'elle fit repoussée loin en arrière contre le sol. Une brise de vent aussi fort qu'une tempête la cloua au sol. Le sol et les cailloux ambient tournaient dans le ciel telle une tornade, alors que la combattante était incapable de se relever. Sa braise n'était pas là, elle n'arrivait pas à se donner à fond contre sa sœur. C'est alors qu'elle se faisait écrasée par divers morceaux de terres, lancés par la magicienne qui enchaînait ses magies d'une facilitée.
C'est alors qu'un bruit de grognement raisonnait. Elle refusait de perdre aussi facilement, et attrapait un de ces morceaux entre ses mains, qu'elle brisait, avant de pousser un lourd hurlement, telle une onde de choc, venant percuter ce vent et le dissiper. Ramassant sa hache, sa sœur n'hésitait pas à la bombarder d'un nouveau sort, de l'eau fine, tranchante comme une lame très aiguisée. La guerrière tapa du pied au sol, dans sa force décuplée, et venait lever la roche qui encaissait cette taillade subissant sa marque de tranchant. Elle venait ensuite prendre appui, et sauter sur le rocher pour venir atteindre sa soeur. C'est alors qu'elle lançait un méga vent aidé d'une magie prompte. Le sort filait à toute allure contre Isilswys, qui était dans les airs. À nouveau, elle inspirait de l'air avant que cela n'arrive, et hurla tellement fort que l'onde de choc de son cri annula le sort au contact. Peu après ce cri, elle ressentait une douleur dans sa gorge, comme si elle brûlait. Mais cela n'était rien, elle devait obtenir sa victoire, et prouver à sa soeur qu'elle est capable. Malheureusement, lorsqu'elle arrive au contact, la terre se lever du sol et venait lui frapper le menton. La jetant en arrière, cette terre se détacha du sol, et venait à nouveau l'écraser, ne cessant d'être jeté sur elle pour l'occuper. C'est alors qu'un jet d'eau condensé venait s'abattre du ciel sur elle, l'écrasant à nouveau sur ce sol qui ne cessait de s'enfoncer avec sa forme. Petit à petit, elle perdait la bête, et perdu l'affrontement.
- J'ai gagnée, soeur. Je vais rester, et tu devras y aller.
Les poings serrés, Isilwys se retenait de toute ses forces d'éjecter ses émotions, et se relevait difficilement, blessée, regardant vers sa soeur.
- Je ne pouvais pas me battre contre toi. Je partirai, mais dans le fond je suis la gagnante.
- Il n'est pas nécessaire de faire preuve de mauvaise foi, ton départ m'attriste tout autant que tu ne le sois.
Isilswys soufflait du nez, peu convaincue par les dires, alors qu'elle rengainait son arme.
- Je suis certaines que depuis les Ixalis, tu me regardais de haut. Car j'ai attaquée les notre, et que j'ai tuée ma monture. Cependant, contrairement à toi, je ne pouvais me résigner à affronter ma soeur de toute mes forces. Et ma victoire est t'elle, que ta magie fétiche, le vent, n'a pas été efficace contre moi.
Relevant son regard de braise, dans ceux de sa soeur, elle rétorqua une dernière phrase, avant de partir.
- Si tu n'avais pas été de ma famille, tu aurais perdue. Toi et ton air de supériorité, auriez mangée le sol. Un peu de retour à la réalité ne te ferait pas de mal.
C'est sur ces mots, qu'elle partait. La soeur, avait un air outrée, mais surtout, souhaitait répondre. Elle a préférée garder le silence, car elle n'était pas autant capable de rétorquer autre chose que des injures, sous la colère. Si c'est elle qui aurait hérité de la bête, elle n'aurait en réalité, jamais réussie à la contrôler un tant soit peu correctement.
Chez elle, elle prenait ses affaires, se préparant à partir. Quand un des anciens du village lui demandait comment elle comptait se faire appeler sur les terres en dehors.
Isilswys réfléchissait longuement, et d'un sourire narquois sur son visage, venait se dessiner sa réponse.
"Wild Air".
En provocatrice envers sa soeur, comme si elle était plus sauvage que son vent, elle prit la route, en direction d'Eorzéa.
C'est ainsi, qu'elle devint aventurière, et commençait les mandats et les services, ayant atteint la capacité de se nourrir, de se loger, et de mettre à l'épreuve sa force, et son courage.
Qu'est-ce qui l'avait animé toute ses années ? Ce besoin de se prouver qu'elle n'était pas inférieure à sa soeur. Elle avait réussi, et désormais, elle était animée à l'idée de progresser, encore.
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